Lancée à l’initiative des patients, une vaste enquête portant sur près de 9000 insuffisants rénaux met en relief l’effet dévastateur
de ces maladies sur la vie quotidienne, affective et professionnelle, et souligne des carences dans la prise en charge médicale.
La greffe,meilleure option thérapeutique que la dialyse, n’est pas toujours proposée, et la possibilité de don entre vivants reste méconnue.
Une annonce souvent extrêmement brutale de leur maladie. Des effets dévastateurs sur la vie dans toutes ses dimensions.
Un manque d’écoute du corps médical et un déficit d’informations concernant les modalités de traitement, en particulier les possibilités de greffe à partir d’un donneur vivant.
Les patients atteints d’insuffisance rénale lancent un cri d’alarme, à travers une enquête nationale d’ampleur inédite dont nous révélons les premiers résultats.
Bien moins médiatisées que les cancers ou le sida, les maladies rénales chroniques qui relèvent de nombreuses causes ont en commun d’aboutir à une destruction de la fonction d’épuration de ces organes vitaux, nécessitant une suppléance par dialyse ou un remplacement par une transplantation.
Ces pathologies méconnues concernent deux à trois millions de personnes en France, dont 71000 sont en phase terminale, 38000 dialysées et 33000 greffées. Voir la suite en pdf…..