Étudiants, mères de famille, chômeurs, retraités… pour survivre il n’ont qu’une solution : glaner les fruits et légumes à la fin des marchés ou faire les poubelles des commerçants. Karine, Joseph, Emilio et Fatima ont accepté que nous les suivions dans leur quête. Le phénomène n’est pas nouveau. Mais comme le montre une étude récente du Centre d’étude et de recherche sur la philanthropie (CerPhi) il prend de l’ampleur. Crise oblige.