Pour encourager la générosité des Français, l’État accorde aux donateurs une réduction d’impôt au titre des dons effectués, dans le cadre de l’impôt sur le revenu ou de la fortune immobilière (IFI), la taxe qui remplace l’ISF.
Cet article du Nouvel Economiste fait le point sur les solutions qui s’offrent aux contribuables français pour choisir le dispositif fiscal correspondant le mieux à leur profil de philanthrope.
Antoine Vaccaro, Président du CerPhi, est cité au sujet des philanthropes-entrepreneurs de la génération Y (les millenials, nés entre les années 1980 et 1990) qui ont des pratiques philanthropiques différentes de leurs aînés :
« Exit donc la philanthropie à l’ancienne qui s’apparentait davantage à de la charité, et qui n’était pas forcément très regardante sur ce qu’il advenait de l’argent donné. Il faut dire que les donateurs de cette génération sont bien souvent des entrepreneurs ayant fait rapidement fortune dans le monde de l’Internet ou des nouvelles technologies. Du coup, ils souhaitent appliquer à leur action philanthropique le même engagement et les mêmes méthodes qu’à la tête de leur entreprise. Conséquence directe : comme l’indique Antoine Vaccaro, président du CerPhi, le centre d’étude et de recherche sur la philanthropie, “ils attendent un impact immédiat de leur engagement social, en évaluant notamment le plus précisément possible les conséquences de leur action sur le terrain”. Pour ce faire, les plus riches d’entre eux n’hésitent pas à passer à l’action en mettant en place leur propre structure philanthropique afin de soutenir les projets qui leur sont chers. »
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Source : https://www.lenouveleconomiste.fr